L’interculturel implique trois dimensions : 1) La perspective subjectiviste : celle-ci met l’accent sur la relation entre deux individus conscients de leur bagage culturel qui varie en fonction de leur âge, de leur sexe, de leur appartenance sociale et de leur trajectoire ; 2) La perspective interactionniste : elle implique l’interculturel et reconnait la présence de deux acteurs en présence ; toutefois, l’attention est davantage fixée « sur le rapport que le « Je » entretient avec autrui que sur l’autrui proprement dit » et 3) La perspective situationnelle : dans ce cas-ci, l’interculturel fait cas des différences de statuts, pas seulement des différences de normes et de valeurs dans l’interaction entre les personnes. En effet, les cultures ont leur inscription dans l’histoire, dans l’économie et dans la politique d’où la complexité des interactions.